Avoir une guitare, c'est vachement bien
Avoir une guitare, c'est une bonne chose. Ca permet de jouer de la musique. Au sens large. pour certains, ça permet de jouer l'Asturias d'Isaac Albeniz. Pour d'autres, ça permet de chanter des chansons avec quelques arpèges pour accompagner.
Et puis ça permet surtout de se changer les idées, ou d'exprimer divers sentiments. Sans être un guitar hero, ou même digne d'approcher le qualificatif de "bon".
Mettons que vous ayez un coup de blues, tiens. Vous prenez une paire d'accords simple, une rythmique aussi simple, et vous rajoutez des paroles improvisées qui tournent en dérision votre cause de blues. Et ça va tout de suite mieux.
Ou alors, vous avez un de ces surplus d'énergie, et pas moyen de l'évacuer. Alors vous sortez la disto, vous la réglez sur un son plutôt équilibré, ni trop lourd, ni trop criard, et vous balancez quelques accords, quelques enchaînements en pentatonique à deux balles, et ça soulage.
Ou alors, pour une raison X ou Y, vous avez les nerfs en boule, envie de tout casser... Et là, vous reprenez la disto, vous poussez l'ampli sur "FORT", la disto sur un son bien gras (grosses basses, aigus limités, médianes surboostées) ou sur un son bien hurlant (plein d'aigus, un peu de graves, et des médium-haut sous amphètes), et vous grattez. Vite, fort, sans trop de finesse. Sans pour autant ne faire que du bruit, collant des power-chords les uns après les autres, ajoutant une montée ou une descente, un gros scratch, une harmonique qui siffle, et j'en passe.
Et ça fait du bien.
Avoir une guitare, ça sert à tout ça. Et à plus encore.
Et puis ça permet surtout de se changer les idées, ou d'exprimer divers sentiments. Sans être un guitar hero, ou même digne d'approcher le qualificatif de "bon".
Mettons que vous ayez un coup de blues, tiens. Vous prenez une paire d'accords simple, une rythmique aussi simple, et vous rajoutez des paroles improvisées qui tournent en dérision votre cause de blues. Et ça va tout de suite mieux.
Ou alors, vous avez un de ces surplus d'énergie, et pas moyen de l'évacuer. Alors vous sortez la disto, vous la réglez sur un son plutôt équilibré, ni trop lourd, ni trop criard, et vous balancez quelques accords, quelques enchaînements en pentatonique à deux balles, et ça soulage.
Ou alors, pour une raison X ou Y, vous avez les nerfs en boule, envie de tout casser... Et là, vous reprenez la disto, vous poussez l'ampli sur "FORT", la disto sur un son bien gras (grosses basses, aigus limités, médianes surboostées) ou sur un son bien hurlant (plein d'aigus, un peu de graves, et des médium-haut sous amphètes), et vous grattez. Vite, fort, sans trop de finesse. Sans pour autant ne faire que du bruit, collant des power-chords les uns après les autres, ajoutant une montée ou une descente, un gros scratch, une harmonique qui siffle, et j'en passe.
Et ça fait du bien.
Avoir une guitare, ça sert à tout ça. Et à plus encore.