Pikkujoulu (vaguement) désenchanté
J'ai un nouveau lit. Plus large que le précédent, ce qui implique l'ahcat de nouvelles housses.
Du coup, cet après-midi, direction IKEA, rayon literie. Pas de pot, ils ont arrêté de faire des lits en 120x200 y'a longtemps.
Du coup, pas de housse.
Je file donc du rayon liteie à l'épicerie, pour me venger sur un paquet de Daim ou une bouteille de Vodka...
Et là, ooooooh...
En évidence au milieu de la boutique... du Glögi ! Enfin, du Glögg, parce que c'est en suédois.
(pour ceux qui n'ont pas suivi mes aventures froides, c'est un genre de vin chaud qu'on boit dans les fêtes d'avant-Noël en Finlande)
Du coup, TILT, je repense à mon idée de Pikkujoulu, et je me lance, j'chope une bouteille de glögi sans alcool et une avec, une boîte de biscuits aux épices, et du hareng mariné en bocal.
Red devait viendre, du coup plutôt que de la faire venir après, je la convie au dîner avec mes parents et ma frangine.
Le repas fut excellent, l'ambiance aussi. On a bien mangé, on s'est bien marrés, c'était super.
Mais le sentiment de nostalgie qui m'a poussé à acheter toutes ces choses n'a pas vraiment été assouvi.
D'abord parce que les convives n'avaient pas du tout ces références... C'est un peu comme manger un nem sans avoir jamais foutu un pied en Asie, ça n'empêche pas d'apprécier, mais il y a un niveau d'appréciation qu'on a pas.
Ensuite, parce que c'était au final un dîner tout à fait Français avec quelques éléments rapportés des cultures Nordiques. Rien à voir avec ces soirées étudiantes où glögi, biscuits et riz au lait épais étaient les seuls choix de nourritures.
Enfin, parce que si le Glögi brûlant est un vrai bonheur quand on a passé la journée avec -12°C dehors dans la neige, quand il fait +10°C avec un peu de flotte, le Glögi, c'est du mauvais vin aromatisé...
Ca m'apprendra que les souvenirs ne valent que dans leur contexte.
Et ça m'apprendra qu'on peut passer d'excellentes soirées avec un chouya de déception, tant que cette déception n'est aucunement liée aux personnes présentes.
Conclusion finale : peu importe ce qu'on bouffe ou boit, une bonne soirée, c'est d'abord être avec les bonnes personnes.
Du coup, cet après-midi, direction IKEA, rayon literie. Pas de pot, ils ont arrêté de faire des lits en 120x200 y'a longtemps.
Du coup, pas de housse.
Je file donc du rayon liteie à l'épicerie, pour me venger sur un paquet de Daim ou une bouteille de Vodka...
Et là, ooooooh...
En évidence au milieu de la boutique... du Glögi ! Enfin, du Glögg, parce que c'est en suédois.
(pour ceux qui n'ont pas suivi mes aventures froides, c'est un genre de vin chaud qu'on boit dans les fêtes d'avant-Noël en Finlande)
Du coup, TILT, je repense à mon idée de Pikkujoulu, et je me lance, j'chope une bouteille de glögi sans alcool et une avec, une boîte de biscuits aux épices, et du hareng mariné en bocal.
Red devait viendre, du coup plutôt que de la faire venir après, je la convie au dîner avec mes parents et ma frangine.
Le repas fut excellent, l'ambiance aussi. On a bien mangé, on s'est bien marrés, c'était super.
Mais le sentiment de nostalgie qui m'a poussé à acheter toutes ces choses n'a pas vraiment été assouvi.
D'abord parce que les convives n'avaient pas du tout ces références... C'est un peu comme manger un nem sans avoir jamais foutu un pied en Asie, ça n'empêche pas d'apprécier, mais il y a un niveau d'appréciation qu'on a pas.
Ensuite, parce que c'était au final un dîner tout à fait Français avec quelques éléments rapportés des cultures Nordiques. Rien à voir avec ces soirées étudiantes où glögi, biscuits et riz au lait épais étaient les seuls choix de nourritures.
Enfin, parce que si le Glögi brûlant est un vrai bonheur quand on a passé la journée avec -12°C dehors dans la neige, quand il fait +10°C avec un peu de flotte, le Glögi, c'est du mauvais vin aromatisé...
Ca m'apprendra que les souvenirs ne valent que dans leur contexte.
Et ça m'apprendra qu'on peut passer d'excellentes soirées avec un chouya de déception, tant que cette déception n'est aucunement liée aux personnes présentes.
Conclusion finale : peu importe ce qu'on bouffe ou boit, une bonne soirée, c'est d'abord être avec les bonnes personnes.