Fables
Une fois n'est pas coutume, je vais faire un peu de prosélytisme pour une bande dessinée.
Plutôt une série de comic-book, puisque c'est Américain. Ca s'appelle Fables.
Ca se passe de nos jours, à New-York (jusqu'ici, rien de bien étonnant) où une communauté de personnages de contes de fées s'est réfugié suite à l'envahissement de leurs mondes respectifs par L'Adversaire, un mystérieux méchant qui a conquis à peu près tous les royaumes enchantés à sa portée.
Tout ce petit monde issu d'une pléthore de contes divers s'est réfugié à Fabletown depuis plusieurs siècles, une enclave ayant la particularité de n'être pas accessible aux humains.
Les histoires de Fables mêlent la trame principale de la lutte entre les réfugiés de Fabletown et L'Adversaire avec diverses histoires permettant de développer les biographies des personnages. Des histoires courtes ça et là viennent enrichir l'histoire de l'Exode des Fables (nom générique des perosnnages de contes) qui s'est faite en plusieurs fois.
Si une connaissance poussée du folklore euro-américain peut s'avérer utile, elle n'est pas indispensable, la plupart des personnages étant des classiques (Blanche-Neige, le Prince Charmant, la Belle et la Bête...) réiterprétés ou regroupés en un seul qui devient du coup un archétype.
J'ai du mal à exprimer l'enthousiasme que je ressens pour cette série qui arrive à être drôle, palpitante, parfois même émouvante (si, si !), dotée d'un scénario accrocheur, de personnages fabuleux (forcément), et j'en passe.
Et puis tant que j'y suis, la série en est à son 7e Eisner Award, qui est au comic-book ce qu'Oscar est àLouis de Funès au cinéma.
Un hic pour certains : à ma connaissance, ça n'a pas encore été traduit en Français.
Plutôt une série de comic-book, puisque c'est Américain. Ca s'appelle Fables.
Ca se passe de nos jours, à New-York (jusqu'ici, rien de bien étonnant) où une communauté de personnages de contes de fées s'est réfugié suite à l'envahissement de leurs mondes respectifs par L'Adversaire, un mystérieux méchant qui a conquis à peu près tous les royaumes enchantés à sa portée.
Tout ce petit monde issu d'une pléthore de contes divers s'est réfugié à Fabletown depuis plusieurs siècles, une enclave ayant la particularité de n'être pas accessible aux humains.
Les histoires de Fables mêlent la trame principale de la lutte entre les réfugiés de Fabletown et L'Adversaire avec diverses histoires permettant de développer les biographies des personnages. Des histoires courtes ça et là viennent enrichir l'histoire de l'Exode des Fables (nom générique des perosnnages de contes) qui s'est faite en plusieurs fois.
Si une connaissance poussée du folklore euro-américain peut s'avérer utile, elle n'est pas indispensable, la plupart des personnages étant des classiques (Blanche-Neige, le Prince Charmant, la Belle et la Bête...) réiterprétés ou regroupés en un seul qui devient du coup un archétype.
J'ai du mal à exprimer l'enthousiasme que je ressens pour cette série qui arrive à être drôle, palpitante, parfois même émouvante (si, si !), dotée d'un scénario accrocheur, de personnages fabuleux (forcément), et j'en passe.
Et puis tant que j'y suis, la série en est à son 7e Eisner Award, qui est au comic-book ce qu'Oscar est à
Un hic pour certains : à ma connaissance, ça n'a pas encore été traduit en Français.