Solidays, un bref aperçu.
Tant de choses à en dire !
Si je vous racontais les 3 jours par le menu, j'en aurais pour plusieurs pages.
Je vais me contenter de dire que c'était génial, que les groupes dont j'attendais beaucoup ne m'ont pas déçu le moins du monde, et que d'autres dont j'attendais seulement un peu m'ont très agréablement surpris.
A ce jour, je suis quasi-aphone, j'ai mal partout (surtout aux jambes, à force de sautiller pendant les concerts), j'ai des coups de soleil sur les bras et le visage (on ne reste pas 3 jours dehors au soleil sans conséquences quand on a ma peau de rouquin) et je suis crevé car j'ai assez peu dormi. Mais si c'était à refaire, je le referais pareil, parce que Solidays, au delà des artistes, c'est une ambiance génialissime, sans agressivité : tout le monde est là pour se faire plaisir, ça se voit et c'est communicatif ! Que ce soient les artistes qui se donnent à fond, les associations qui viennent porter leurs messages et leurs luttes au sein du festival, ou les festivaliers et campeurs qui braillent, tout le monde est là aussi pour se rappeller que 90% des malades du Sida sont au Sud et 90% des traitements au Nord.
Solidays, c'est aussi une défaite en finale de coupe du monde suivie par un nombre impressionant de personnes sans que cela ait un réel impact sur la fin des festivités avec des concerts entraînants de la part de Bénabar, Tryo et les Motivés qui ont clôturé le festival sur un recueil de chants de luttes remis au goût du jour.
Solidays, c'est tois jours de bonheurs, grands et petits, de bonnes surprises et de rencontres sympas, d'activités sportives, culturelles et ludiques...
Vraiment, Solidays, c'est bien ! (à défaut d'adjectif plus adapté, je dirais même que c'est supercallifragillisticexpiallydocious)
Voilà pour la réaction à chaud.
Demain, je vous ferai un compte-rendu des concerts pour ceux que ça intéresse de savoir ce que donnent Jean-Louis Aubert, Louis Bertignac, Dyonisos ou encore Sergent Garcia et quelques autres sur scène à Solidays.
Si je vous racontais les 3 jours par le menu, j'en aurais pour plusieurs pages.
Je vais me contenter de dire que c'était génial, que les groupes dont j'attendais beaucoup ne m'ont pas déçu le moins du monde, et que d'autres dont j'attendais seulement un peu m'ont très agréablement surpris.
A ce jour, je suis quasi-aphone, j'ai mal partout (surtout aux jambes, à force de sautiller pendant les concerts), j'ai des coups de soleil sur les bras et le visage (on ne reste pas 3 jours dehors au soleil sans conséquences quand on a ma peau de rouquin) et je suis crevé car j'ai assez peu dormi. Mais si c'était à refaire, je le referais pareil, parce que Solidays, au delà des artistes, c'est une ambiance génialissime, sans agressivité : tout le monde est là pour se faire plaisir, ça se voit et c'est communicatif ! Que ce soient les artistes qui se donnent à fond, les associations qui viennent porter leurs messages et leurs luttes au sein du festival, ou les festivaliers et campeurs qui braillent, tout le monde est là aussi pour se rappeller que 90% des malades du Sida sont au Sud et 90% des traitements au Nord.
Solidays, c'est aussi une défaite en finale de coupe du monde suivie par un nombre impressionant de personnes sans que cela ait un réel impact sur la fin des festivités avec des concerts entraînants de la part de Bénabar, Tryo et les Motivés qui ont clôturé le festival sur un recueil de chants de luttes remis au goût du jour.
Solidays, c'est tois jours de bonheurs, grands et petits, de bonnes surprises et de rencontres sympas, d'activités sportives, culturelles et ludiques...
Vraiment, Solidays, c'est bien ! (à défaut d'adjectif plus adapté, je dirais même que c'est supercallifragillisticexpiallydocious)
Voilà pour la réaction à chaud.
Demain, je vous ferai un compte-rendu des concerts pour ceux que ça intéresse de savoir ce que donnent Jean-Louis Aubert, Louis Bertignac, Dyonisos ou encore Sergent Garcia et quelques autres sur scène à Solidays.